jeudi 16 janvier 2014 à 20h30

Projection "Ne vivons plus comme des esclaves"

Ce mois ci on vous invite à plein de chouettes projections tous les JEUDIS à partir de 20h50 :


JEUDI 16 : NE VIVONS PLUS COMME DES ESCLAVES de Yannis Youlountas, Avec discussion (y'a des copaines qui ont habité à Exarcheia qui seront là et montreront des vidéos des manifs, émeutes, etc)

Venu des catacombes grecques de l'Europe, un murmure traverse le continent dévasté : « Ne vivons plus comme des esclaves » (prononcer « Na mi zisoumé san douli » en grec). Sur les murs des villes et sur les rochers des campagnes, sur les panneaux publicitaires vides ou détournés, dans les journaux alternatifs et sur les radios rebelles, dans les lieux d'occupation et d'autogestion qui se multiplient, tel est le slogan que la résistance grecque diffuse, jour après jour, et nous invite à reprendre en chœur sur les mélodies de ce film à ses côtés. Un grand bol d'air frais, d'enthousiasme et d'utopies en marche, venu de la mer Égée.

JEUDI 23 : PRISON VALLEY, L'INDUSTRIE DE LA PRISON

Bienvenue à Cañon City, Colorado.

Un coin reculé de 36.000 âmes et 13 prisons, dont «Supermax», la nouvelle Alcatraz américaine. Une ville-prison où même ceux qui vivent dehors vivent dedans. Une plongée dans ce qui pourrait bien être le monde futur.

Un webdocumentaire de David Dufresne & Philippe Brault.

JEUDI 30 : BAISE MOI de Virginie Despentes et Coralie Trinh Thi
Nadine et Manu sont deux filles dingues, appliquées au possible, voire perfectionnistes. Elles ont plusieurs points communs : le sexe extrême, la drogue, la bière et la gachette. Elles arrangent les problèmes à coups de flingue et gare à ceux qui se mettent sur leur passage !

JEUDI 6 fev : MUTANTE ; Feminisme porno punk - Virginie Despentes
Une série d'entretiens internationaux (États-Unis, France, Espagne) avec des intellectuels, écrivains, théoriciens, militants queer sur le féminisme pro-sexe et la postpornographie. L'ensemble des propos est illustré par des images d'archives centrées sur l'action politique des « travailleuses du sexe » et par la captation de performances artistiques.

Source : message reçu le 4 janvier 18h